Publié le 19 mai 2024
fabrication d’aliments de bétails et volailles0558 065 989 / 0560 322 644merzaki1991rachedi@gmail.comBLIDA

fabrication d’aliments de bétails et volailles
0558 065 989 / 0560 322 644
merzaki1991rachedi@gmail.com
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Avec près de 80 exposants représentant plus de 200 firmes nationales et internationales, la 3e édition du salon IMLAB promet aux visiteurs une expérience enrichissante et innovante. IMLAB 2024 se veut une plateforme unique pour découvrir les dernières avancées technologiques dans deux filières clé de l’industrie de la santé : le Laboratoire et l’Imagerie Médicale. Leaders mondiaux de l’imagerie médicale, grandes entreprises spécialisées en solutions de laboratoire, ainsi que des start-up innovantes seront présents lors de cette manifestation. Dans le présent entretien, Mme Yasmine Chaouche, Directrice du Salon IMLAB, nous explique pourquoi ce salon est un événement de référence pour le diagnostic médical.

Pour sa dix-huitième édition, le Siphal a opté pour un thème au cœur de l’actualité nationale en interrogeant les enjeux de l’Internationalisation de l’Industrie Pharmaceutique Algérienne. Partant du constat de la forte croissance enregistrée par ce secteur au cours des dernières années et de sa contribution à la couverture de la demande locale, il apparait aujourd’hui que l’industrie pharmaceutique a de sérieux atouts pour partir à la conquête des marchés régionaux notamment africains. Dans le présent entretien, M. Yacine Louber, Directeur du SIPHAL, nous confirme que l’Algérie peut être un hub pour la production et la distribution de produits pharmaceutiques et que le Siphal à travers une animation spécialement dédiée veut aussi contribuer à relever le défi de l’exportation.

Augmenter la participation de l’industrie à la création de la richesse nationale est un réel défi pour l’Algérie d’aujourd’hui et le développement des activités de sous-traitance est un volet important dans le processus de ré industrialisation en cours. Dans le présent entretien, M. Kamel Agsous souligne la nécessité d’étendre les investissements à l’ensemble des secteurs porteurs de valeur ajoutée (transport ferroviaire, projet minier, production pharmaceutique, industrie automobile, etc.) et ce en vue d’atteindre l’objectif fixé par les pouvoirs publics d’une intégration à 40 % au cours des 5 prochaines années. Il insiste cependant sur l’importance d’agir avec célérité pour l’application des politiques industrielles arrêtées et de veiller à leur adéquation aux contraintes du moment.