Publié le 14 avril 2023

Avec près de 25 années d’existence, le SITEV d’Alger est l’une des plus grandes manifestations dédiées au tourisme au niveau du bassin méditerranéen. Le sérieux, la qualité de l’organisation et la régularité de sa tenue sont autant de facteurs qui indéniablement ont permis de hisser ce salon au rang des grands évènements médiatiques qui captent l’intérêt tant des professionnels que du grand public. Dans l’entretien qui suit, la Commissaire du Salon et Directrice Générale de l’Office national du tourisme (ONT), Mme Saliha Nacer Bey souligne que le SITEV est cette belle grande vitrine qui offre aux visiteurs la chance de découvrir la beauté de l’Algérie touristique et le contraste de ses paysages mais que c’est aussi et surtout un moment fort pour la valorisation de la destination Algérie.

Pour sa deuxième édition, le Salon IMLAB ne devrait pas décevoir ses visiteurs. Une organisation plus rigoureuse, une augmentation significative du nombre d'exposants, un programme d'animation plus riche rehaussé par la présence d'éminents experts nationaux et étrangers, la manifestation a tous les attraits pour séduire. Dans le présent entretien, Mme Yasmine Chaouche, Directrice du Salon IMLAB, nous explique que les préparatifs de cette deuxième édition ont été intenses et passionnants et que son ambition est de créer une platef orme annuelle privilégiée où les professionnels de la santé, particulièrement les professionnels du diagnostic, peuvent se rencontrer, partager des connaissances, explorer les dernières innovations et établir des partenariats fructueux. Un pari en passe d'être tenu.

Augmenter la participation de l’industrie à la création de la richesse nationale est un réel défi pour l’Algérie d’aujourd’hui et le développement des activités de sous-traitance est un volet important dans le processus de ré industrialisation en cours. Dans le présent entretien, M. Kamel Agsous souligne la nécessité d’étendre les investissements à l’ensemble des secteurs porteurs de valeur ajoutée (transport ferroviaire, projet minier, production pharmaceutique, industrie automobile, etc.) et ce en vue d’atteindre l’objectif fixé par les pouvoirs publics d’une intégration à 40 % au cours des 5 prochaines années. Il insiste cependant sur l’importance d’agir avec célérité pour l’application des politiques industrielles arrêtées et de veiller à leur adéquation aux contraintes du moment.